« Ce sont donc bien ces idées qui étaient la cause première et fondamentale des sentiments dépressifs de Pauline, et il est fort douteux qu’en leur absence elle eût été aussi troublée par le rejet de sa mère. Quoi qu’il en soit, si elle était encore troublée à l’âge de vingt-sept ans, alors qu’elle avait quitté depuis cinq ans le contact immédiat de sa mère, il fallait bien en conclure que son état actuel était dû à la persistance en elle de ce bagage d’idées irréalistes, à l’attitude qu’elle avait adoptée face au rejet maternel et qu’elle continuait à entretenir en se répétant inlassablement une grande quantité de phrases irréalistes. »